J'entends bien, mais cela complique les choses. D'une certaine manière, le fait qu'une société privée gagne ou perde de l'argent ne regarde pas le Parlement, même si cela nous concerne indirectement.
En outre, la question de la décision politique du Gouvernement de ne pas livrer les bateaux n'a pas à être posée au président de DCNS, mais aux politiques. Enfin, ce qui nous intéresse, pour la défense du contribuable, c'est l'application du protocole avec la COFACE et de celui avec l'État. Nous venons sur ce point de recueillir des éléments. Avant de dire que nous sommes dans une parodie de contrôle, il faudrait lire le rapport de notre collègue Michel Vauzelle. Je ne doute pas qu'il répondra aux questions posées.