La plupart de vos recommandations sont corrélées entre elles, on ne peut pas en retenir une sans en retenir d'autres. Comme beaucoup de mes collègues, je partage le sentiment que plus l'orientation intervient tardivement dans la scolarité, mieux c'est. Néanmoins, certaines orientations précoces relèvent aussi d'un choix. Quant à celles qui sont faites par défaut, on peut se demander si elles ne sont pas la conséquence de l'insuffisance des dispositifs d'accompagnement des élèves en difficulté. Quelles seraient les conditions indispensables à remplir pour repousser l'orientation à la première ou à la terminale ?