Après un an et quatre mois d'exercice, je vous avoue que je « sèche » un peu sur le sujet. Cela étant, je crois qu'un reclassement des immeubles n'aboutirait qu'à une modification marginale des recettes. On me parle souvent du potentiel fiscal de Montreuil, la qualifiant de ville « riche » qui devrait actionner un peu plus le levier de la taxe foncière ou de la taxe d'habitation. Pour ma part, je constate qu'elle a un taux de pauvreté de 26 %, un taux de chômage de 18 %, et que seulement 65 % des ménages y sont imposés. Les échanges que j'ai avec mes concitoyens me laissent penser que le niveau d'imposition, déjà élevé, est devenu un sujet très difficile, voire épidermique. Mais avec cette réponse, j'ai conscience de ne pas avoir tout à fait répondu à votre question.