Nous avons été heureusement surpris par le rapport de Mme Pirès-Beaune dans sa volonté de favoriser l'open data. Il est vrai que, pour une meilleure compréhension de la DGF et de façon à en simplifier le calcul – même si votre volonté de rester au plus près des territoires implique de garder un certain degré de complexité –, vous préconisez l'accès de tout un chacun – à commencer par le gestionnaire local – à des données en open data. Cette volonté est présente dans toute la sphère publique : les collectivités locales en particulier souffrent d'une certaine forme de rétention d'informations, tant au niveau de leurs services qu'à celui de l'État en sa qualité d'animateur et de contrôleur de leurs finances.