M. Hervé Pellois fait référence à la dotation supplémentaire de un milliard d'euros annoncée par le Premier ministre. Vous avez évoqué des subventions à l'investissement de 20 ou 30 %, mais ne faudrait-il pas envisager des taux de 80 ou 100 % pour des projets indispensables comme une station d'épuration dans une ville qui déverse des milliers d'hectolitres de déchets dans des rivières ? Cela nous obligerait à faire des choix, mais la politique consiste à en arrêter, et à revoir nos pratiques en la matière.