Il est indispensable – et c'est l'objet de l'amendement AC384 – de reconnaître et de protéger le patrimoine immatériel, c'est-à-dire les savoir-faire, les traditions orales et les pratiques sociales porteuses d'identités locales ou nationales. Il s'agit également de donner une assise légale à une politique qui, aujourd'hui, est relativement éparse en la matière.