Cet amendement rappelle en effet les objectifs de notre politique de rayonnement culturel pour la langue française. Sur le fond, j'y suis très favorable mais peut-être mentionner le continent africain en tant que tel n'est-il pas utile : il s'agit, de façon ambitieuse, de développer l'usage du français partout dans le monde, partout où il y a un « désir de France », pour reprendre le titre d'un rapport publié il y a quelques années.
Sous cette réserve, je donnerai en séance un avis favorable à votre amendement, modifié en ce sens.