Je n'ai pas décelé dans vos propos, madame la ministre, un attachement particulier à la vie associative, pas plus d'ailleurs que quand vous étiez députée de l'opposition.
Plusieurs études démontrent que le problème ne vient pas tant du bénévolat que de son encadrement, faute d'un statut du dirigeant associatif. Il n'est pas nécessaire de donner encore de l'argent, mais il faudrait mieux accompagner les dirigeants. Que comptez-vous faire ?