La MECSS ne nie pas la complexité du système de la CNAF, qui a su faire preuve d'une capacité d'adaptation remarquable s'agissant du RSA. Ce qu'elle veut connaître, c'est le coût du système actuel. En outre, des réflexions sont-elles menées sur les systèmes alternatifs, dits « systèmes ouverts », jugés par certains moins onéreux ?