Merci, monsieur le président, de permettre à un membre de la commission des affaires étrangères qui ne votera pas tout à l'heure de s'exprimer ici très brièvement.
Je viens simplement apporter un témoignage personnel. J'ai eu l'honneur de siéger dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy, comme secrétaire d'État, au plan puis à la ville, auprès du Premier ministre. J'ai eu, dans ces fonctions, des contacts presque quotidiens avec M. Villeroy de Galhau, et je voulais dire ici que j'ai jugé vos qualités exceptionnelles et votre intégrité sans faille, de même que votre sens de l'État et de l'intérêt général.
Je n'évoquerai pas ici la pétition des économistes, que j'ai trouvée dérisoire, voire pitoyable. Je souhaite simplement que mes collègues de la commission des finances expriment un vote favorable à votre nomination.