C'est difficile. Il faudrait que la sécurité sociale fournisse le nombre total d'arrêts de travail prescrits chaque année – qui croît de manière régulière depuis 30 ans – et que l'on calcule un ratio, ce qui permettrait de réaliser que le volume des contrôles – 70 000 par an – est dérisoire. Il conviendrait également de tenir compte de la durée des arrêts de travail.