Mais, je le répète, il s’en est fallu de peu. C’est paradoxalement Jacques Chirac qui a conduit à l’abandon de cette approche. Je ne veux toutefois pas m’engager sur le terrain religieux, car cela nous entraînerait dans des débats qui ne concernent pas directement le texte, même si je pense que l’attachement aux racines chrétiennes de l’Europe et de notre pays peut être rappelé dans cette enceinte.
Monsieur le rapporteur, madame la ministre, il serait intéressant que, d’une façon ou d’une autre, nous nous saisissions de cette question à laquelle les outils aujourd’hui existants ne suffisent manifestement pas à répondre.