La compagnie nationale, confrontée à des défis majeurs, dont la concurrence, n’a pas d’autre possibilité que de procéder à des réformes nécessaires, partagées par tous.
Ce matin même, je suis allé dans les locaux d’Air France, à Roissy, pour rendre hommage et exprimer mon soutien, ma solidarité, mon affection – et, je pense, celle de tous – aux deux cadres et à tous ceux qui ont été humiliés, frappés, molestés. Cet acte est évidemment intolérable.