Cet amendement ne vise évidemment pas à priver le Parlement d’une information sur ce sujet majeur et essentiel qu’est celui des soins palliatifs. Je le défends simplement parce que le nombre de rapports demandé au Parlement est très élevé et que j’ai été sensible à l’argumentation de la commission des affaires sociales du Sénat, dont j’ai repris les éléments dans l’exposé sommaire.