Monsieur le Premier ministre, un cadre d’Air France lynché par des grévistes et des images qui font le tour du monde, une crise migratoire non maîtrisée, un policier entre la vie et la mort pour avoir été sauvagement agressé par un détenu en permission appartenant au grand banditisme et radicalisé. Votre réponse : un silence assourdissant.
Nous dénonçons avec force ce recul intolérable de l’autorité de l’État, fruit de trois années de lois laxistes et permissives…