Nous défendons aussi des intérêts offensifs : la défense de notre agriculture, l’accès aux marchés publics américains pour nos entreprises, en particulier nos PME, la diversité culturelle – et nous avons défini une série de lignes rouges, que je rappelle régulièrement.
Si rien ne change dans un avenir raisonnable, c’est-à-dire au cours du onzième tour de négociations qui s’ouvrira dans quelques jours, et dans le courant de l’année 2016, la France en tirera les conséquences et demandera l’arrêt des négociations ; elle travaillera avec ses partenaires européens en ce sens.