Il est urgent de réunir les dirigeants de GEA, avec les syndicats et les élus, et de faire respecter nos règles.
En 2015, GEA a bénéficié du CICE, comme un million d’autres entreprises. Mais comment admettre que des multinationales utilisent l’argent public provenant des impôts, fruit du travail des hommes, pour licencier en France et délocaliser en Chine et en Roumanie ?
Il est indispensable de lutter contre le chômage et de permettre à nos habitants de retrouver confiance.