Mon amendement va dans le sens de votre précédente observation, monsieur le président : je ne sais pour ma part expliquer à une veuve d'ancien combattant qui a perdu son mari âgé de 74 ans et dix mois qu'elle n'aura pas droit à la demi-part, alors que s'il avait vécu deux mois de plus, elle en aurait bénéficié. C'est un amendement de justice.