Je n'ai pas de tendresse particulière pour M. Poutine, mais soyons prudents : il existe, symétriquement, des mouvements politiques, en Russie et à Hong Kong par exemple, qui vivent en grande partie grâce à des financements étrangers. Si l'on considère comme totalement illégitime a priori tout financement étranger de partis politiques, cet argument risque d'être utilisé dans des pays moins amis de la démocratie que le nôtre, ce qui me paraît fort délicat.