Pas moins de vingt-huit députés sont intervenus : c'est dire la passion qui anime la représentation nationale.
Permettez-moi une dernière interrogation. Pour avoir été président du groupe majoritaire au conseil de Paris lors de la candidature de Paris aux Jeux de 2012, je peux vous dire que la déception a été à la hauteur de nos espoirs. Il a été dit que notre candidature aurait gagné à être plus sportive que politique – même si Tony Blair avait fait, à quelques jours du vote du CIO, la tournée des chambres de l'hôtel où ses membres étaient logés.
Comme l'a laissé entendre Bernard Lapasset au Président Bartolone, nous sommes aujourd'hui dans une logique de candidature plus sportive que politique. Le bon équilibre a-t-il été trouvé ? Que peuvent faire les parlementaires pour soutenir cette candidature ?