On a baissé les impôts, en repoussant à plus tard les économies pour les financer, et cela s’est traduit par des hausses d’impôt massives à compter de 2011.
On a aussi pensé – cette fois-ci, reconnaissons-le, tous bords confondus – que la dépense publique était la seule et unique solution à nos problèmes.