Si vous le voulez, je peux le répéter une troisième fois ! Au nom du Gouvernement, je réaffirme qu’il n’y aura pas de remise en cause de la « familialisation » de l’impôt sur le revenu.
Puisque vous m’invitez à aborder le sujet de la confiance, je dois dire qu’après le discours de M. le président de la commission des finances et après le vôtre, monsieur Mariton, je peux comprendre que la confiance soit difficile à rétablir !