Si les républiques sont numérotées, c'est en raison de drames qui s'appelaient « révolution » ou « guerre » – en dernier lieu, la guerre d'Algérie. Pour ma part, je ne sens pas en Ve République : je vis en république. C'est une république susceptible de toutes les modifications, de toutes les réformes ; mais c'est bien la république. Une sixième république, et pourquoi pas une septième, une huitième ? Restons en république et changeons cette république.
Je retiens la proposition de Cécile Duflot : pourquoi, monsieur le président Bartolone, ne pas nous retrouver encore une fois pour constater quels auront été les effets de ce rapport ?