Il faut en effet distinguer les produits de nécessité des produits de confort, ce qui est relativement difficile. L’amendement de Mme Coutelle a le mérite de prendre en compte cette situation, tout en portant une attention particulière aux femmes les plus précaires.
Mais à qui profiteront les 55 millions d’euros évoqués par M. le secrétaire d’État, qui représentent le coût de la mesure pour l’État ? Peut-on être certains, dans le cadre d’un changement de taux de TVA de 20 à 5,5 %, que ce sont bien les consommateurs…