Contrairement à ce qu'affirme M. le rapporteur, le Gouvernement ne stabilise plus l'industrie pharmaceutique et ses résultats, il les contraint et les étrangle. Les entreprises se trouvent dans l'impossibilité de provisionner le montant de la taxe à laquelle elles sont soumises, ce qui les fragilise : comment voulez-vous qu'une entreprise, quelle qu'elle soit, soit taxée sur un chiffre d'affaires qu'elle n'a pas encore réalisé ?