L'article 4 procède d'une facilité qui semble constituer la marque de fabrique de l'ensemble de ce PLFSS : plutôt que de faire des réformes de structure et de réduire ce qui pourrait l'être par la rationalisation, la modernisation et la mise en cohérence, le Gouvernement coupe les dépenses sans se préoccuper des conséquences, par des dispositions dangereuses pour l'accès aux soins et pour l'avenir de l'industrie du médicament.