Monsieur de Courson, je ne peux pas vous répondre sur le bilan précis des engagements de la France à l'égard de la Grèce. Au demeurant, les articles que vous citez, parus dans le journal de votre choix, sont certainement intéressants mais ils ne doivent pas vous servir de base de raisonnement. Si tel était le cas, il n'y aurait pas besoin de demander un rapport pour informer le Parlement. Cela étant, à la première occasion où nous nous rencontrerons à nouveau, que ce soit en séance ou en commission, j'aurai les éléments et je vous les apporterai.
Vous le savez depuis longtemps – nous étions dans la même commission lors de la mandature précédente –, j'ai plaidé avec vous pour que le pouvoir exécutif fasse preuve de la plus grande transparence à l'égard des parlementaires…