Notre démarche n'est pas insincère, puisque nous l'écrivons dans le rapport, comme vous venez de le souligner, monsieur Barbier. À chaque année budgétaire suffit sa peine ! Nous devrons résoudre ce problème dans le PLFSS pour 2017, mais, pour l'année 2016, nous vous proposons une mesure de bonne gestion. L'ACOSS supporte à l'heure actuelle une part de la dette sociale, en la finançant à des conditions avantageuses par des taux d'intérêt négatifs, le ralentissement économique américain pouvant inciter la Réserve fédérale (Fed) à maintenir sa politique de taux bas.