Il s’agit d’instaurer une réduction d’impôt pour l’embauche d’un apprenti.
Il faut bien reconnaître que nous avons eu une politique un peu erratique en matière de soutien à l’apprentissage depuis le début de la législature. La trajectoire est aujourd’hui rétablie et les choses sont claires : priorité est donnée à la jeunesse et à l’emploi des jeunes, moyennant un dispositif important qui donne des résultats. Les emplois d’avenir et les contrats de génération ont été créés. Le soutien à l’apprentissage est une autre forme de cet effort.
Nous proposons de le renforcer par une aide de 500 euros par mois, soit 6 000 euros par an. Si l’on rapporte ce montant aux 10 000 euros par an des emplois d’avenir, on voit que l’on reste dans l’épure.