Je suis également d’accord avec Benoît Hamon sur la possibilité de différer la date d’entrée en vigueur de la mesure, dès lors que celle du 1er janvier 2016 paraît irréaliste, comme l’a indiqué M. le ministre. Que cette date soit reculée au 1er juillet, au 1er septembre ou au 1er janvier 2017, peu importe ; mais il me semble important de manifester une volonté claire afin de permettre au Gouvernement d’avancer. Chacun doit en effet comprendre que nous ne sommes pas les mercenaires bénévoles d’une cause qui n’est pas la nôtre.