Aujourd’hui, ces entreprises frappent tous les jours à la porte des banques pour s’entendre dire : « Non, ce n’est pas possible. Nous n’avons pas d’argent pour aider vos projet, même s’ils sont bons. » Combien d’emplois perdons-nous à cause de cela ?
Voilà ce qu’il faut avoir en tête au moment de voter ces amendements. Je souhaite que tous ensemble, dans cet hémicycle, nous puissions nous rallier à l’amendement qui fixe une date courant 2016 ce qui, au fond, confortera notre ministre dans ses négociations.