Je le disais en introduction à ce débat budgétaire, cela fait trente et un ans que l’on explique aux écologistes qu’on ne peut pas faire ou que l’on ne pourra faire que plus tard. Je retrouve, ce matin, les mêmes arguments qui nous sont servis à chaque fois pour ne pas faire.
Le premier registre d’arguments, incarné ce matin par le président de la commission des finances, revient à dire qu’il faut agir au niveau international, pour des raisons de compétitivité. Le second, également assez classique, porte sur l’infaisabilité technique : à ma grande surprise, il a été incarné ce matin par la rapporteure générale.