…en s’asseyant sur le vote des électeurs européens, comme ce fut le cas lors des référendums en France et en Irlande.
Un point de non-retour a été atteint cet été avec ce qui s’apparente à un coup d’État financier contre le peuple grec.
L’euro s’est converti en une arme terrible contre les peuples, qui les prive de choisir leur destin et empêche toute possibilité d’alternative.
Les dettes publiques sont l’instrument d’un chantage politique et l’on ne sera pas surpris, dès lors, de l’absence de toute volonté de les effacer.
Bruxelles a subrepticement remplacé la légitimité démocratique par la légitimité ploutocratique en devenant le fondé de pouvoir des lobbies de la finance…