Gilles Carrez évoquait de manière opportune le passé, non seulement pour dire que nous avions prévu ce qui est arrivé les années suivantes et jusqu’à la situation actuelle, mais également pour dire que nous payons aujourd’hui, dans le cadre de cette discussion budgétaire, le prix politique et financier de la décision brutale, sans étude d’impact, que Nicolas Sarkozy avait prise en 2008, de supprimer d’un trait de crayon 450 millions d’euros de recettes publicitaires en soirée.