Pourtant, le déficit du régime général en 2014 s’est réduit de 2 milliards de plus que la prévision budgétaire et, en 2015, il devrait s’établir à 600 millions d’euros de moins que prévu. Il y a donc une vraie sincérité dans les chiffres avancés depuis trois ans par ce gouvernement. Il en sera de même pour cette année.
Le deuxième mot, c’est la responsabilité, celle qui amène à constater que tout en enregistrant ces bons résultats, il y a encore beaucoup d’efforts à faire. Chacun sait que ces déficits, s’ils ne sont pas combattus, sont des bombes à retardement pour les générations futures…