On ne sait donc pas exactement quels en seront les effets. Faites attention à ce secteur menacé, ne condamnez pas à mort des centaines d’établissements privés faute d’étude d’impact, simplement parce que vous leur reprochez d’être moins chers que le secteur public, alors qu’ils s’occupent des mêmes malades dans les mêmes conditions.
Le redressement des comptes sociaux sera, je suppose, monsieur le secrétaire d’État, pour l’année prochaine... Et ce sera malheureusement à nous, quand nous reviendrons au pouvoir, de nous en occuper !