Elle a probablement permis de stabiliser les attaques contre la monnaie, de rassurer les marchés même si ce n'est pas le but ultime, ni le seul, d'une politique financière. Cela a permis de placer le pays et les entreprises dans une situation qui reste plutôt favorable.
Un mot – et ce sera ma dernière idée de ce matin – sur la question de savoir s'il faut aller plus loin en termes de révolution fiscale. Certains disent que nous n'avons pas mis en oeuvre suffisamment d'aménagements. Vous en êtes, monsieur Mariton, l'illustration.