Hier, notre collègue Marc Dolez a fait remarquer avec pertinence que le président Bartolone avait précisé, en Conférence des présidents, que le temps de parole dépendrait du bon vouloir et de l'appréciation de celles et de ceux qui présideraient nos réunions. De fait, les coprésidents de la commission élargie sur les crédits de la justice ont accepté que chaque porte-parole de groupe puisse parler cinq minutes. Mesdames les présidentes, je crois qu'il serait de bonne méthode de faire de même aujourd'hui. Le fonctionnement de ces commissions ne fait qu'empirer, il serait temps de le revoir car un temps de parole aussi faible frise le ridicule !