Nous venons d’évoquer cette question. L’amendement proposé tend à supprimer la moitié des crédits dédiés aux études amont sur le nucléaire qui, à elles seules, représentent plus du tiers du montant total des études amont. S’il était adopté, il aurait pour conséquence directe de remettre en cause le maintien des capacités de recherche et d’ingénierie indispensables pour préserver la capacité de notre pays de disposer d’un équipement de défense répondant à ses besoins, notamment en matière d’armement nucléaire, à moyen et à long terme. J’y suis donc défavorable.