Les sports à risque, définis comme les sports individuels pratiqués par un sportif de haut niveau sans statut – c'était l'essence même de la proposition de loi de Brigitte Bourguignon –, ont été pris en compte dans l'évaluation de la somme budgétée à laquelle vous avez fait référence, madame Dion. J'espère que cette proposition de loi fera l'objet d'une seconde lecture à l'Assemblée nationale dans les meilleurs délais, et je félicite Mme Bourguignon et le groupe Socialiste, républicain et citoyen pour cette initiative parlementaire.