Ils traduisent la politique menée par le Gouvernement et que le ministre vient de définir, à savoir la fermeté mais aussi l’humanité.
Pour ce qui est des chiffres, monsieur Myard, il faut savoir que les quelque 30 000 migrants que vous évoquez, ce sera sur deux ans alors que le budget est voté annuellement. On ne peut donc pas doubler la mise du jour au lendemain. Je rappelle aussi que ces crédits n’ont pas seulement pour objet de financer le traitement des demandeurs d’asile mais également de pourvoir à l’aide aux communes qui s’engagent à les recevoir.
C’est la traduction budgétaire simple et limpide des engagements du Gouvernement que nous partageons.