Merci, Michel Françaix, d'avoir utilisé toute votre compétence et votre connaissance du dossier pour nous éclairer. C'est à la fois technique et compliqué ; il faut connaître l'histoire pour en comprendre tous les enjeux.
Vos propos suggèrent que vous êtes en attente, un peu au milieu du gué, et nous y sommes avec vous. Espérons que nous parviendrons à rejoindre l'autre rive car le pluralisme est en jeu. Je vous remercie d'avoir conclu en évoquant la situation des vendeurs de presse. Pour présider la commission professionnelle des kiosquiers parisiens, je sais combien leur situation reste particulièrement précaire.