Les experts du G5 du Sahel, créé en février 2014, et ceux de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime travaillent pour établir le cadre juridique et institutionnel de la coopération en matière de sécurité et de défense des États membres dudit G5. Deux textes sont en discussion : le premier est un projet d'accord multilatéral entre les États de la région concernant l'organisation et le fonctionnement d'une plateforme de coopération en matière de sécurité, et le second un projet de règlement intérieur fixant l'organisation et le fonctionnement du comité de défense et de sécurité. Quel regard portez-vous sur cette intégration, et quel potentiel de coopération existe-t-il avec la France ?