Monsieur Vervisch, nous pouvons retenir quatre points de votre intervention. Premièrement, l'impact des baisses de dotations de l'État est dilué parce que d'autres phénomènes contribuent également à fragiliser l'investissement des collectivités. Deuxièmement, nos collectivités locales ont besoin d'indicateurs fiables, pour bien appréhender nos politiques, leurs coûts et leur pertinence. Troisièmement, le « grand soir » de la fiscalité n'est pas pour demain, car la matière est bien complexe. Enfin, l'intercommunalité reste source d'espoir. Peut-être contribuera-t-elle demain à la mise en place d'une fiscalité plus équitable et plus justement répartie ?
Merci, monsieur, pour la qualité de vos propos.