Je rappelle que cette pêche est contrôlée, les quotas étant limités au « rendement maximal durable », et qu'elle n'est pas le fait des seuls navires industriels : il y a dans le quartier de pêche du Guilvinec des chalutiers de moins de 24 mètres auxquels sont attribués de petits quotas pour des espèces bien précises.
Je propose que nous nous conformions à la réglementation européenne, qui gèle l'empreinte et prohibe l'ouverture de nouvelles zones de pêche, quelles que soient la profondeur et la création de zones fermées à la pêche en cas de présence avérée d'écosystèmes marins vulnérables, même là où elle est autorisée aujourd'hui.