Je parle seulement du mercredi, pas des vacances. Mais c'est aussi lié à la loi sur les nouveaux rythmes scolaires, dont les communes ont la responsabilité.
Le coût résiduel est d'environ 100 000 euros. Nous avions des conventions de partenariat avec les associations. Nous en avons réduit le coût de 67 000 euros. En ce qui concerne les subventions, j'ai également dû baisser le champ d'intervention au profit des associations, car nous mettons à leur disposition des salles et du personnel. Je n'ai pas eu de problème pour mettre en place les rythmes scolaires. Je les ai appliqués tout de suite parce que j'avais du personnel que je n'employais plus dans les périodes où je les employais avant et que je pouvais mettre à disposition pour les rythmes scolaires. Donc, cela a été une bonne chose. Le seul problème, c'est que la participation des gosses est infime par rapport à ce que nous devrions toucher.