Je maintiens la question que j'ai posée. J'ai un point de vue et je le défends. Nous ne sommes plus à l'époque où certains empêchaient de penser librement !
Je n'attaque personne sur sa capacité à gérer, monsieur le rapporteur. En revanche, il m'arrive de faire référence à des choix qui ont eu des conséquences douloureuses pour le contribuable. Certaines solutions sont plus avantageuses que d'autres, et il faut vérifier régulièrement que l'offre de services – en matière de transports ou dans d'autres domaines – est toujours en adéquation avec les attentes des citoyens. Car celles-ci évoluent : les attentes de nos enfants ne sont pas celles de nos parents ; les habitudes changent, notamment avec l'informatique et le numérique. Il convient donc de se poser les bonnes questions, non pas tous les quinze ans, mais tous les deux ou trois ans. Je fais souvent cette remarque et je la maintiens.