Madame la ministre, vous avez prévu 1,6 million d'euros pour un portail de déclaration des effets indésirables par les usagers et les professionnels de santé. Si mes souvenirs sont bons, il en existe déjà un à la Haute Autorité de santé, de même qu'il existe, pour les médicaments notamment, les centres régionaux de pharmacovigilance. Comment allez-vous donc articuler tout cela pour que nous n'ayons qu'un référentiel ? La question a des implications notamment en ce qui concerne l'open data et les données de santé, et votre réponse devrait particulièrement intéresser mon collègue Gérard Bapt.