Monsieur Cavard, levons un instant le nez du guidon et faisons le bilan : nous pouvons nous satisfaire des avancées obtenues. Vous souhaitiez que le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) soit suspendu si un accord d'entreprise n'était pas respecté : ce sera finalement notre seul point de divergence.
Au-delà, nous avons trouvé des accords qui ne sont pas symboliques, sur les emplois d'avenir – étendus à l'utilité sociale et environnementale –, sur la Banque publique d'investissement… Ne faisons pas naître des contradictions là où elles n'existent pas !
J'ajoute que vous jouissez d'une liberté d'expression bien plus grande que la nôtre : vous auriez tort de vous sentir frustré.