Je voudrais revenir sur la question de la taxe sur les farines, créée en 1962 et dont tout le monde voudrait se sortir. Elle met en difficulté nos meuniers, dans la mesure où elle est perçue sur les producteurs français sans l'être sur les importations, comme ce devrait être le cas – les services du ministère ne pouvant nous donner de chiffres à cet égard. Il faudrait faire le point sur l'ensemble de ces taxes, sur lesquelles nous sommes d'accord pour dire qu'elles ont des effets économiques défavorables pour nos industries – même si elles relèvent de budgets différents.